L'histoire de la télévision
Je vais sûrement en faire sauter plus d'un sur leur fauteuil mais savez-vous que la télévision à exister bien avant nos postes de TV. Les premiers essais se sont fait tout naturellement à la Tour Eiffel avec la première speakerine dont j'ai oublié le nom mais c’était en 1929. En 1935, date création de la première chaîne de télévision française du Poste parisien, les locaux étaient rue Cognac Jay.Pendant la Deuxième Guerre Mondiale notre chaîne de télévision était devenue allemande. Voici des logos de notre première chaîne. Tout d'abord, la RTF puis l'ORTF qui éclatera le 6 janvier 1975, pour laisser place à TF1 Antenne2 et la 3 chaîne couleur.
La mir de la RTF Le logo de L'ORTF
Les logos de tf1 service public
le logo de 2 chaine le logo de 3 chaîne couleur
sûrement apprécier cette photo le petit d'interlude (ce petit train existe en deux exemplaires un à LIMOGES avenue GEORGES DUMAs).
À l'époque on parler pas de bandes annonces, ni publicité, on avait le choix entre la speakerine et l'interlude. Dès le milieu des années 1950, à l'époque de la RTF, est apparue une horloge filmée en direct, dont le plus fameux modèle la pendule d'Houriez - 1960 Elle était accompagnée d'une musique caractéristique, que l'on retrouvera dans les années 70 lors des attentes du journal régionale notamment après l'émissions les Chiffres et les Lettres, sur deuxième chaîne de télévision Quand au petit train interlude,photo ci dessus ou le petit train rébus, apparaît dans les 60. Dans des petits films réalisés par Maurice Brunot , une maquette de train dont chaque wagon porte un morceau de rébus, défile sur l'écran. Lorsque toutes les images ont été vues, il passe devant une gare portant le panneau "la solution", puis la solution est donnée. En 1963, il devient le "petit train de la mémoire". Ce n'est plus un rébus qu'il faut résoudre, mais un objet à retrouver à partir d'un dessin décomposer en plusieurs parties à superposer mentalement.
C'est une création française ou 170 numéros ont étaient tournés et les devons à monsieur Gilles De N.